Consultant chef de projet IT
L'assistance opérationnelle auprès des utilisateurs est une mission du consultant
Nous sommes le mardi 18 novembre, bienvenue sur mon site de chef de projet consacré à la gestion de projets IT. Je vous invite à consulter mes contenus, bonne lecture ! 😉
En 2025, un consultant chef de projet IT doit incarner un rôle clé dans la réussite des transformations numériques. À la croisée des attentes métiers et des contraintes techniques, mon job consiste à concilier vision stratégique, pragmatisme opérationnel et gestion des tensions inévitables entre les parties prenantes. L'expertise ne se limite pas à la maîtrise des méthodologies ou des outils, mais repose surtout sur sa capacité à naviguer entre les cultures, les priorités et les langages des directions métiers et des équipes IT.
Je m'appelle Michel Campillo, ma vision de la chefferie de projet est nourrie par des retours d'expérience, des défis et des bonnes pratiques pour déployer des solutions IT chez des clients finaux.
Sur michelcampillo.com j'aborde les pièges récurrents, les évolutions organisationnelles (comme la transition de la DSI vers la Digital Factory), et les nouvelles dynamiques de collaboration, notamment entre chef de projet IT et Product Owner, deux fonctions qui ne s'aiment pas toujours, mais dont la synergie est indispensable.
Dans un contexte où les projets IT sont de plus en plus complexes, où l'agilité est souvent un idéal plus qu'une réalité (soyons réalistes), et où l'innovation technologique (comme l'IA agentique) bouscule les habitudes, en tant que consultant en gestion de projet IT mes maîtres-mots sont adaptabilité, diplomatie et une solide expérience terrain acquise au fil du temps sur les projets.
Mon rôle de chef de projet côté AMOA au sein d'une DSI est en constante réinvention ces dernières années. Je ne me vois plus seulement comme un gestionnaire de planning ou un expert en méthodologies, mais avant tout comme un facilitateur, capable de traduire les besoins métiers en solutions techniques réalistes, tout en anticipant les risques et les résistances au changement. Ma valeur ajoutée, je pense, réside dans sa capacité à :
Mentionner cette démarche sur mon blog n'est pas anodin. Un projet IT ne se réduit pas à installer et déployer un logiciel, il s'inscrit dans une stratégie de transformation de l'entreprise au niveau global. D'où mon expertise en gestion de projet et ma connaissance des outils comme Jira, Monday, Youtrack, Github etc.
Il me semble donc normal de suivre l'évolution du monde de l'IT en m'adressant à mes lecteurs, qu'ils soient des dirigeants, des responsables métiers ou d'autres consultants. Cela démontre que l'on ne reste pas enfermé dans une seule solution, un seul logiciel pour gérer l'entreprise, mais que l'on est capable de comparer, de questionner et d'enrichir sa vision. 😉
L'intégration d'une solution IT ne se résume pas à son déploiement technique. Elle implique un alignement des processus (une solution mal calée sur les workflows existants génère des rejets, même si elle est performante), une gestion des interfaces (entre anciens et nouveaux systèmes, entre équipes internes et prestataires externes) et surtout un accompagnement au changement (formation, communication, et parfois, gestion des frustrations liées aux bouleversements des habitudes).
Prenons un exemple concret : une solution déployée sans implication des utilisateurs finaux peut devenir un gouffre financier, même si elle est techniquement aboutie. Mon rôle est donc d'orchestrer des ateliers de spécifications, des tests utilisateurs précoces, et des retours d'expérience réguliers. L'expert en transformation digitale est un chef d'orchestre au sein d'un SI.
La coexistence avec le Product Owner est souvent source de tensions. Je suis focalisé sur la livraison dans les temps et le budget, le PO est sur la valeur métier et l'évolution continue du produit. Pourtant, une collaboration est essentielle pour éviter deux écueils : le syndrome du "tunnel" (un projet livré à temps, mais qui ne répond plus aux besoins métiers au moment de sa mise en production) et l'illusion de l'agilité (des sprints qui s'enchaînent sans vision claire, ou des priorités qui changent en permanence, rendant toute planification impossible).
Pour concilier les deux approches, il faut clarifier les rôles : le Product Owner porte la vision produit, le chef de projet IT garantit la faisabilité et la cohérence technique. Une bonne initiative est d'instaurer des rituels communs : revues de backlog partagées, démonstrations régulières aux métiers, et arbitrages transparents en cas de conflits. Il faut accepter l'itération : dans un monde idéal, le produit évolue en continu, mais le projet doit quand même respecter des jalons pour rassurer la direction.
De toute façon, la méfiance mutuelle vient souvent d'un manque de compréhension des contraintes de l'autre. Un bon professionnel sait créer des espaces de dialogue et des indicateurs partagés.
Lire l'article: Chef de projet IT ou Product Owner: ils ne s’aiment pas mais doivent collaborer
Le Shadow IT (utilisation de solutions non approuvées par la DSI) est un symptôme de frustration : les métiers, lassés des lenteurs ou des rigidités, se tournent vers des outils SaaS ou des développements maison. Plutôt que de le combattre, comme consultant chef de projet IT j'essaie d'en faire un levier pour identifier les besoins non couverts (pourquoi les équipes marketing utilisent-elles un outil externe plutôt que la solution officielle ?), proposer des alternatives contrôlées (intégrer des solutions low-code, ou négocier des partenariats avec des éditeurs agiles) et surtout sécuriser sans étouffer, bref trouver un équilibre entre flexibilité et gouvernance, en impliquant la DSI dans la sélection des outils.
Lire l'article: Shadow IT, quand les métiers deviennent leurs propres DSI
Les DSI perçues traditionnellement comme des centres de coûts se transforment progressivement en Digital Factory, une usine à produits et services numériques. Cette évolution implique une culture produit, passer d'une logique de "projet" (avec un début et une fin) à une logique de "produit" (avec des améliorations continues), mais aussi des équipes pluridisciplinaires, entre développeurs, designers, experts métiers et data scientists (tous travaillent ensemble, en mode agile ou DevOps), et pour finir une gouvernance adaptée c'est-à-dire moins de comités de validation lourds, plus d'autonomie pour les équipes, tout en gardant un cadre stratégique.
Dans ma vision, tout l'enjeu est de structurer cette transition, tout en évitant les pièges comme la surcharge des équipes et l'oubli de la dette technique (innover vite ne doit pas signifier accumuler des problèmes pour plus tard!). Certains se demandent s'il faudra encore des DSI en 2030 ? Probablement, mais sous une forme différente : moins de contrôle, plus de facilitation, et une intégration renforcée avec les métiers.
Lire l'article: De la DSI à la Digital Factory, une transformation continue
L'IA agentique (des agents autonomes capables d'exécuter des tâches complexes) ouvre des perspectives immenses, on s'en rend compte tous les jours. Mais son intégration doit être pragmatique, il faut cibler les cas d'usage à forte valeur ajoutée (automatisation des processus répétitifs, etc.), former les équipes (l'IA ne remplace pas les humains, mais elle change leur façon de travailler), et gérer les biais et l'éthique car la transparence, l'explicabilité et la conformité RGPD restent des impératifs.
On est d'accord qu'un chatbot interne peut libérer du temps pour les équipes support, à condition qu'il soit bien entraîné et intégré aux outils existants. Eh oui: l'IA n'est pas une solution miracle. Un projet mal cadré peut coûter cher pour un résultat décevant.
Lire l'article: Intégrer l'IA agentique dans les solutions métiers, levier de productivité
L'agilité est souvent vendue comme la panacée, mais sa mise en œuvre bute sur des réalités! Les organisations sont encore très hiérarchiques, or il est difficile de faire collaborer des silos en mode agile. Quand les budgets annuels restent rigides, comment concilier l'agilité avec des enveloppes figées ? Autre problème: des équipes peu formées. L'agilité demande une nouvelle posture, pas seulement des post-it et des stand-up meetings.
Je constate un vrai risque d'agile washing ! La recommandation est donc de commencer petit, avec un pilote sur un périmètre restreint et des équipes volontaires. Il faut mesurer l'impact, pas seulement en termes de livraisons, mais de satisfaction utilisateur et de valeur métier. Et enfin il faut accepter l'échec, car un projet agile qui pivote n'est pas un échec, mais une adaptation.
Lire l'article: L'illusion du pilotage de projet agile : sur le papier seulement?
La logique de "projet" (livraison puis clôture) est de plus en plus remplacée par une approche "produit" (amélioration continue). Cela change la donne pour le consultant chef de projet, il doit dorénavant penser durabilité au-delà du build : une solution doit être maintenable, évolutive, et documentée (run). Cela demande d'impliquer les utilisateurs en continu via des feedbacks réguliers et des communautés d'utilisateurs, et d'anticiper les coûts de run qui sont souvent sous-estimés dans les budgets initiaux.
Une erreur classique est de livrer un projet et partir, en laissant les directions métiers gérer seul les problèmes de maintenance ou d'évolution.
Lire l'article: La fin du projet : place au produit?
Malgré les retours d'expérience à force de gérer des projets, certains pièges reviennent sans cesse comme la sous-estimation des besoins métiers (quand le cahier des charges est trop technique, sans validation terrain). Il ne faut pas ignorer les utilisateurs finaux, en se contentant de les former en dernière minute, sans les impliquer en amont. Il ne faut pas négliger la dette technique, ni accumuler des rustines pour tenir les délais.
J'accorde toujiurs une grande importance à la gouvernance : sans comité de pilotage clair qui se réunit régulièrement pendant tout le projet, il n'y aura pas d'arbitrage possible en cas de conflit. Attention aussi à ne pas surestimer les économies, car un projet low-cost peut coûter cher en corrections. Minimiser les risques est une erreur, quand il n'y a pas de plan B pour les dépendances externes (éditeurs, sous-traitants).
Ne croyons pas que la technologie suffit : une solution IT ne résout pas un problème organisationnel. Ne négligeons pas la sécurité, mais faisons en sorte que la cybersécurité doit être intégrée dès la conception du projet. Autre erreur : confondre agilité et improvisation ! Car sans cadre, l'agilité devient du bricolage.
Lire l'article: Des erreurs de cadrage qu'on répète depuis vingt ans
Comme consultant chef de projet IT, je ne me vois pas comme un gestionnaire de tâches. J'essaie d'avoir un rôle stratège, de médiateur, et un accélérateur de changement. Faire de l'AMOA auprsè des directions métiers exige d'équilibrer vision long terme et pragmatisme court terme, d'être capable de fédérer des acteurs aux intérêts parfois divergents et de gérer l'innovation sans perdre de vue les fondamentaux (qualité, sécurité, et adoption utilisateur).
Dans un monde où la technologie évolue à un rythme effréné, où les attentes métiers sont de plus en plus exigeantes, et où les organisations se réinventent, l'expert en intégration de solution IT reste indispensable. La fin des projets IT ? Peut-être. Le début d'une nouvelle ère de collaboration et d'innovation ? Sans doute.
Et vous, quels sont les défis que vous rencontrez dans la gestion de vos projets IT ?

Une des grandes tendances de cette année est sans doute l'intégration de l'IA agentique dans les ERP. Contrairement aux simples algorithmes prédictifs qui se contentent d'analyser des données, cette nouvelle génération d'intelligence artificielle agit comme un agent autonome, capable de prendre des décisions opérationnelles limitées, d'alerter les utilisateurs et même d'initier des actions correctrices. Dans un ERP personnalisé, cela signifie qu'un chef de projet peut recevoir des recommandations précises en temps réel pour ajuster les ressources sur une production ou identifier un fournisseur alternatif lorsqu'une rupture est détectée. Cette capacité à anticiper et à agir transforme profondément la façon dont les entreprises pilotent leurs processus.
Les éditeurs français mettent aussi l'accent sur l'intégration des systèmes existants. Beaucoup de sociétés, surtout celles qui évoluent dans des environnements complexes comme la distribution automobile ou l'industrie, disposent déjà d'un socle applicatif disparate. L'innovation réside ici dans la capacité à connecter efficacement leur outil à une base de données ERP pour concessionnaire automobile, à un CRM spécialisé ou à un outil de gestion RH. Cette interopérabilité, rendue possible par des API standardisées et des connecteurs intelligents, réduit les coûts d'implémentation et évite la duplication des données, un problème récurrent dans les projets antérieurs.
Lorsqu'on fait du consulting en gestion de projet IT, on observe que le rôle de l'intégrateur (lorsqu'il y en a un) est plus que jamais central dans le cadre de cette évolution. Qu'il s'agisse d'un cabinet conseil ou d'une ESN, ces acteurs apportent une expertise critique en intégration de solution IT pour concevoir une roadmap projet réaliste et la mettre en œuvre. Trop souvent, les entreprises sous-estiment la complexité d'un déploiement : définir les priorités, planifier les phases, accompagner les utilisateurs et assurer une formation continue. L'intérêt également d'un cabinet de consulting indépendant pour vous aider dans le choix d'un nouvel ERP est bien de se faire accompagner par un professionnel qualifié.
🖐️ En 2025 le chef de projet, épaulé par un consultant fonctionnel pour cartographier les process et des consultants techniques pour la reprise de données, devient un véritable chef d'orchestre qui doit aligner les choix techniques avec les objectifs stratégiques.
Dans le monde de l'Enterprise Resource Planning, les consultants en France sont souvent recherchés par des cabinets internationaux tels que Washington Frank, cabinet de recrutement ERP. Certains sont basés à Londres, parfois à Barcelone ou dans l'île Maurice 🌊 (océan Indien). Le point commun : avoir de l'expérience sur les gros progiciels du marché tels que Dynamics, SAP, People Soft, IFS etc.
L'innovation touche également le domaine du reporting. Les ERP français en 2025 intègrent désormais des tableaux de reporting interactifs et dynamiques, capables de croiser des données financières, opérationnelles et commerciales en temps réel. Ce n'est plus seulement un outil de consultation, mais un véritable tableau de bord intelligent, qui alimente la prise de décision et favorise la réactivité. Pour une PME comme pour un grand groupe, disposer de ces visualisations évolutives change la manière d'analyser la performance et de piloter les activités quotidiennes.
Autre évolution notable : l'accessibilité des outils personnalisés pour des secteurs spécifiques. Alors qu'auparavant les solutions ERP semblaient standardisées et conçues pour de grandes structures, on voit apparaître des versions adaptées aux PME industrielles, aux concessionnaires automobiles, aux entreprises de services, ou encore aux acteurs de la logistique. Ces ERP personnalisés intègrent des processus métier spécifiques et permettent d'éviter de lourdes adaptations coûteuses. C'est une avancée qui répond directement aux besoins de terrain et qui met en évidence la maturité croissante des éditeurs français.
En parallèle, il est impossible de ne pas évoquer la question de la veille technologique IT. Les entreprises qui réussissent leur transformation ERP en 2025 sont celles qui se tiennent informées en continu des évolutions du marché, des innovations de leurs éditeurs et des tendances émergentes. Trop de projets échouent encore par manque d'anticipation, en ignorant l'évolution des normes, des technologies de base de données ou des exigences réglementaires. Ici, le consultant en ERP joue un rôle stratégique en éclairant les décideurs et en garantissant que la solution choisie ne sera pas obsolète deux ans après son déploiement.
Et pour ceux qui se posent encore la question de la place des grands éditeurs internationaux, il faut rappeler qu'il est fréquent d'entendre dans les comités de direction : « qu'est-ce que SAP par rapport à notre situation ? ». SAP reste une référence mondiale, mais les ERP français rivalisent aujourd'hui par leur agilité, leur proximité et leur capacité à s'adapter à des environnements spécifiques. Cette émulation profite aux entreprises utilisatrices, qui bénéficient de solutions plus flexibles et d'un accompagnement mieux ciblé.

En 2025, le paysage des logiciels ERP français n'est donc plus celui d'outils imposés, standardisés et lourds à mettre en place. C'est un environnement vivant, évolutif, qui combine personnalisation, IA agentique, interopérabilité et reporting intelligent. Mais la clé du succès reste inchangée pour un cabinet de consulting indépendant dans le choix d'un nouvel ERP : un projet informatique n'est pas une simple implémentation technique, c'est une transformation organisationnelle profonde. Elle exige un chef de projet visionnaire, un intégrateur compétent, le soutien d'un cabinet conseil ou ESN fiable, en clair une societe de consulting IT impliquée, et surtout une roadmap projet claire et réaliste.
📣 Il existe un très grand nombre d'ERP d'origine francophone, vous pouvez me consulter en cas de doute ou si vous êtes éditeur ERP souhaitant me présenter une démo de votre produit.
À mes yeux, les innovations des ERP français en 2025 ne sont pas uniquement technologiques. Elles sont surtout méthodologiques et organisationnelles, car elles placent enfin l'entreprise au centre, avec ses besoins réels, ses systèmes existants et ses ambitions futures. C'est cette combinaison d'intelligence, d'intégration et d'accompagnement qui fait toute la différence et qui promet aux entreprises françaises une longueur d'avance dans leur transformation numérique.
Mon objectif : Chef de projet en déploiement, implantation et maintenance de solutions logicielles, Michel Campillo a une forte expérience tournée vers les entreprises souhaitant améliorer leurs processus de gestion, gagner en agilité et réduire leurs coûts.
La page À propos vous en dire plus sur qui est Michel Campillo. J'en profite aussi sur cette page pour revenir sur mon expérience de blogueur IT depuis 2004.
👉 Le site web michelcampillo.com est ma carte d'identité virtuelle, il me permet de me faire connaître. Je ne me sers pas de mon site pour proposer des offres de produits ou services, dans la mesure où je suis actuellement salarié. Je ne suis pas disponible pour des prestations comme professionnel indépendant. Pour toute question, cliquez sur Contact (en bas de page).
🆕 Pour finir, quelques sujets abordés récemment : Organisation personnelle, comment être plus organisé. Egalement : la consultation de ressources d'informations disponibles, quelques vidéos d'actualité numérique, les thèmes abordés sur mon blog en ligne et le plan du site.
Outre l'email, mobile, téléphone, Telegram, réseaux sociaux, je vous invite à me retrouver également sur Zoom. Très utile voir indispensable, installé sur mon mobile pour entrer instantanément en réunion. Mon ID de réunion personnel (PMI) est sur la page Contact.
Pays d'Aix, le mardi 18 novembre 2025 😄😊😉😍🤓
Je vous remercie de m'avoir lu, revenez souvent ! Depuis le 19 novembre 2023 il n'y avait plus de publications suite à la mise en pause du blog. Vous étiez restés nombreux à consulter les plus de 300 articles déjà publiés sur les questions du numérique et la gestion de projet. Depuis la fin de la pause et le redémarrage des publications, vous répondez présent ! Mon métier reste de gérer des projets IT, et en 2025 c'est un défi.

Michel Campillo, chef de projet logiciel dans le Pays d'Aix. TJM à partir de 1000€.
Consultant chef de projet IT
☎ 06 89 56 58 18
✉ contact par email
Je vis dans la région PACA, 13170 Pays d'Aix, très prisée pour son tourisme culturel, ses plages, son soleil, et la bonne humeur estivale qui y règle. 🎉 🎂 🍾🎁🎈
➽ Mon blog propose de plus de 300 billets relatifs à la gestion de projet, l'intégration de logiciel et l'informatique en général. Je suis présent sur Mastodon🐵 J'aime cet article lu dans la presse spécialisée: « Le groupe Isatech se rebaptise groupe Dimood pour mieux refléter la diversité de ses expertises ».
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